BRINDILLES AU CHOCOLAT

Préparation : 15 min, Réfrigération : 2 h, Cuisson : 5 min.
Pour 24 pièces

Pour les biscuits :
200 g de sucre glace
175 g de farine
160 g de beurre
6 gros blancs d'oeufs
1 gousse de vanille
1 pincée de sel
50 g de noisettes
50 g de pistaches vertes non salées
100 g de chocolat noir
Pour la ganache :
200 g de chocolat noir râpé
200 g de crème fleurette

• Faire fondre le beurre doucement avec la gousse de vanille fendue et grattée. Laisser tiédir et retirer la gousse.
• Mélanger la farine, le sel et le sucre glace. Faire un puits et ajouter le beurre et les blancs d'oeufs légèrement battus à la fourchette. Mélanger pour obtenir une consistance homogène, puis couvrir et réserver au réfrigérateur au moins 2 heures.
• Préchauffer le four th. 7 (210°C). Poser sur la tôle du four une feuille de papier sulfurisé. Etaler la pâte finement à la spatule en disque d'environ 15 cm de diamètre puis enfourner.
• Lorsque le bord des tuiles commence à se colorer, sortir et décoller délicatement les disques pour les enrouler aussitôt autour d'un crayon de bois.
• Procéder ainsi avec toute la pâte, en plusieurs fournées. Si les disques de pâte ont durci trop vite, les remettre quelques secondes au four pour les ramollir.
• Poser les cigarettes sur une grille.
• Préparer les ganaches. Chauffer la crème puis la verser sur le chocolat râpé. Remuer rapidement la préparation pour la rendre homogène et la laisser refroidir 10 minutes avant de la placer dans la poche à douille, au réfrigérateur.
• Hacher les pistaches et les noisettes et les mélanger.
• Faire fondre les 100 g de chocolat noir au bain-marie. Badigeonner au pinceau une extrémité de chaque cigarette avec le chocolat fondu, puis la poudrer de noisettes et pistaches concassées.
• Laisser refroidir et durcir avant de garnir, à la poche à douille, chaque extrémité de cigarette d'un peu de ganache.
• Déguster dans les 2 heures.

Les cigarettes peuvent être fabriquées à l'avance à condition de les garder à l'abri de l'humidité dans une boîte hermétique.
Dans ce cas-là, ne les garnir de ganache qu'au dernier moment pour ne pas qu'elles ramolissent.